Les erreurs courantes des leaders et comment les éviter.
Quelles sont les erreurs courantes des leaders et comment les éviter ? Le leadership est une compétence importante pour la réussite ou l’échec d’une entreprise.
Comment déléguer sans transpirer ? Découvrez les 6 secrets pour rendre son entreprise plus autonome et gagner en efficacité !
Déléguer permet de gagner du temps pour se consacrer à des tâches plus importantes, ou pour s’autoriser des congés bien mérités, par exemple. Nombreux sont les chefs d’entreprise qui pensent perdre du temps à former un collaborateur, ou encore qui pensent « mieux faire ». Déléguer, c’est au contraire cultiver des talents pour gagner en temps et en efficacité.
La délégation est l’un des outils les plus importants du management. La délégation permet d’augmenter sa productivité, à condition qu’elle soit réussie. Voici quelques principes fondamentaux à respecter pour déléguer en toute sérénité.
• Choisir le bon délégataire : déléguer oui, mais pas à n’importe qui ! Demandez-vous si la personne choisie les compétences, l’expérience mais aussi les ressources pour assurer cette mission. Vous pouvez également répartir cette responsabilité entre plusieurs personnes plutôt qu’une seule, si cela vous semble nécessaire.
• Motiver son délégataire : choisir de déléguer, c’est évidemment être conscient de l’intérêt de la tâche, mais est-ce si évident pour le délégataire ? Expliquez-lui ce qu’il gagne à accomplir cette mission, et quels sont les risques.
• Construire la délégation : définir clairement le périmètre de la délégation est essentiel. Le délégataire doit comprendre le contexte, les objectifs, l’importance de la tâche, les livrables attendus, les échéances…
• Préciser son rôle : si le délégataire doit avoir l’autorité nécessaire pour accomplir la tâche, le responsable reste vous et vous seul ! Déléguer, ce n’est pas abdiquer : définissez la fréquence des points de contrôle, le niveau d’autonomie et de responsabilité.
• Valider conjointement la délégation pour vérifier la compréhension et l’accord du délégataire.
• Faire confiance en son délégataire : qui dit bon management dit confiance ! Ne surveillez pas à outrance votre délégataire ; respectez l’autonomie que vous avez accordée. Par exemple, n’appelez-pas tous les jours pour prendre des nouvelles si vous avez convenu d’un point hebdomadaire. Si vous l’avez choisi, c’est que vous avez confiance en ses compétences, ne l’oubliez pas !
Ces quelques règles sont simples et pleines de bon sens : est-ce la raison pour laquelle nous avons tant de mal à les appliquer ?
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Que l’on soit introverti, réservé, ou pleinement extraverti, il est important de considérer l’impact du bouche-à-oreille lorsque l’on souhaite développer ses ventes. En effet, il a été prouvé que le bouche-à-oreille « traditionnel » a toujours plus de portée que les réseaux sociaux dans les décisions d’achat d’un consommateur !
Le bouche-à-oreille est l’un des moyens les plus efficients pour faire connaître son entreprise et accroître ses ventes, et ce dans de nombreux secteurs. En effet, avec ses coûts moindres et ses taux de transformation élevés, il est rêve absolu pour tout chef d’entreprise !
Les dirigeants sont, cependant, nombreux à ne pas développer cette stratégie de manière proactive. Pour quelles raisons ?
Si le marketing de bouche à oreille est vraiment efficace, pourquoi ne pas y consacrer plus de ressources, en supprimant des actions commerciales plus coûteuses ou chronophages?
La deuxième raison est souvent la réponse à cette question…
Réponse type d’une personne introvertie!
Pour les introvertis, « réseauter », c’est rencontrer des inconnus, dans un lieu très souvent bruyant où l’on tient des conversations superficielles. Il est évident qu’une telle perception du réseautage ne peut que les amener à avoir des réticences.
Les introvertis possèdent en effet trois qualités qui leur permettent de développer de très bonnes relations d’affaires :
Contrairement aux idées reçues, les introvertis ont tous les atouts nécessaires pour développer un bon « réseautage », à condition de remettre en cause certaines croyances et de sortir de leur zone de confort.
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Saviez-vous qu’Andrew Carnegie (1835-1919), célèbre homme d’affaires américain connu pour avoir fondé une philosophie de la philanthropie, a également élaboré une « philosophie du succès » pour les chefs d’entreprise ?
Andrew Carnegie demanda en effet à un jeune étudiant de consacrer 20 années de sa vie à rencontrer des chefs d’entreprise en utilisant une démarche scientifique afin de comprendre les clés de la réussite dans monde des affaires et d’élaborer la « formule magique du succès » pour la communiquer au plus grand nombre…
Ce fut l’œuvre d’une vie pour Napoleon Hill, qui rencontra des milliers d’entrepreneurs.
Le résultat ? Un livre – Réfléchissez et devenez riche* – paru en 1937 et réédité 42 fois à ce jour, servant de base à plusieurs « gourous » du monde des affaires.
Ce qui m’étonne toujours à la lecture de cet ouvrage, parfois « daté » dans sa forme, c’est la simplicité et la pertinence des enseignements, toujours d’actualité et source constante d’inspiration pour les dirigeants d’entreprise.
Voici quelques principes fondamentaux énoncés dans cet ouvrage :
– Avoir une vision, des objectifs précis et savoir élaborer des plans.
– Savoir prendre des décisions
– Être persévérant, démontrer une forte capacité à surmonter les échecs
– Comprendre le pouvoir du « cerveau collectif »…
Le savoir-être est donc la clé du succès alors que nous avons trop souvent tendance à privilégier le savoir-faire. Andrew Carnegie l’a démontré dans sa « vraie vie », démarrant sa carrière comme ouvrier dans l’industrie textile et faisant fortune dans l’acier … tout en consacrant la plus grande partie de son temps à sa véritable passion : aider les autres !
*Napoleon Hill, Réfléchissez et devenez riche, Les Editions de l’Homme
Comment faire de ses clients des inconditionnels de son entreprise ? Un entrepreneur a tendance à vouloir conquérir de nouveaux clients lorsque le climat des affaires est tendu. Peu de chefs d’entreprise adoptent une démarche proactive en s’appuyant sur le principal actif de l’entreprise : le portefeuille clients. C’est pourtant la démarche la plus efficace à adopter !
Si un dirigeant a tendance à privilégier le développement de nouveaux contacts (publicité, salons, télémarketing, campagnes de mailing), le taux de conversion est pourtant l’un des moyens les plus efficients pour augmenter le nombre de ses clients.
Le développement de nouveaux contacts via les opérations énumérées ci-dessus est souvent très coûteux et absorbera une part importante du budget marketing. En revanche, une augmentation de 10 % du taux de conversion est aussi efficace que générer 10 % de prospects supplémentaires, avec deux avantages majeurs pour les PME :
– Des coûts moins élevés
– Des retombées plus rapides
Il est temps de mesurer son taux de conversion et de mettre en place des actions concrètes qui pourraient « payer » très rapidement !
Pour améliorer mon taux de conversion et gagner de nouveaux clients, je dois :
– Définir ce qui me distingue de mes concurrents de manière concrète, en évitant les « lieux communs » tels que : le service clients, l’offre de qualité, les délais rapides…
– M’engager clairement, quitte à proposer une garantie
– Demander à mes clients de témoigner
– Faire des photos ou des vidéos de qualité de mes réalisations
– Mesurer mon taux de transformation par marché, type de clients, produits.
– Me fixer des objectifs, former mes commerciaux : définir des scripts de vente, etc.
Attention, cette liste est loin d’être exhaustive et doit être adaptée à votre activité !
Un coach d’entreprise ActionCOACH est un professionnel expérimenté qui vous permettra de prendre du recul sur votre stratégie commerciale pour identifier les opérations commerciales les mieux adaptées à votre entreprise.
Allez-vous réaliser vos objectifs de la rentrée ? Pour le savoir, rien de plus simple : répondez-vous par l’affirmative ou par la négative aux affirmations suivantes :
Les indicateurs économiques sont au rouge, le taux de chômage augmente, la demande se rétracte
– Approche macroéconomique : l’année 2013 sera difficile. Je subis. Si les résultats de l’entreprise sont mauvais, cela sera la faute de la crise. Je suis « en dessous de la ligne ».
– Approche microéconomique : le contexte est défavorable mais il existe des leviers sur lesquels je peux jouer pour que mon entreprise « tire son épingle du jeu ». J’agis de manière lucide, conscient des difficultés mais aussi du potentiel de ma structure. Je suis « au dessus de la ligne ».
Chef d’entreprise, vous-êtes-vous déjà demandé pourquoi vos collaborateurs ne faisaient pas ce que vous leur demandiez ? C’est d’autant plus surprenant voire décevant lorsqu’il s’agit de collaborateurs clés, eux-mêmes responsables d’équipes voire directeurs.
La dynamique vertueuse d’une société repose sur la différence entre un « patron » et un « leader ». Un patron est respecté pour son autorité tandis que l’on respecte un leader pour son charisme et sa capacité à écouter et faire adhérer. Malheureusement, tout patron n’est pas forcément un leader. Qu’apporte un leader à son entreprise ?
Le chef d’entreprise leader sert ses collaborateurs pour les les maintenir dans un état de motivation et d’implication maximal ! Ainsi, les employés sont à même de servir les clients et de les rendre fidèles et inconditionnels. C’est au tour des clients de servir l’entreprise et d’en devenir les principaux prescripteurs. En retour, l’entreprise récompense le chef d’entreprise leader en développant sa valeur et sa rétribution.
Ainsi, pour l’intérêt de son entreprise, de ses employés, et pour son intérêt propre, le chef d’entreprise « patron » doit devenir « leader », c’est-à-dire rester au « service » de ses collaborateurs.
Que veut dire « être au service de ses collaborateurs » ?
PATRON | LEADER |
Demande d’exécuter | Fixe la direction, donne du sens |
Craint d’être en position d’infériorité | Est préoccupé par la mise en valeur de ses employés |
Réprimande, sanctionne | Sanctionne, après avoir recadré pour améliorer |
S’impose | Impose |
Cherche à se grandir | Aime voir grandir ses subordonnés |
On lui obéit par crainte | On adhère |
A des pouvoirs | A de l’ascendant |
Décourage suggestions et observations | Suscite initiatives et sens critique |
Donne des ordres | Est facteur d’ordres |
Au-dessus de son équipe | Avec son équipe |
Sombre dans la routine | Toujours en quête de progrès |
Source de tensions | Générateur de sérénité |
Autoritaire par principe | Son autorité est naturelle |
Isole son personnel | Ouvre des horizons |
Est craint | Est respecté |
Est jaloux de ses prérogatives | Est conscient de ses devoirs |
Est présent | Est disponible |
Manipule par la flatterie | Encourage, reconnait sincèrement le travail bien fait |
Ne voit que les défauts | Sait reconnaître les talents |
Voit son équipe comme un coût | Voit son équipe comme un investissement essentiel |
Est en perpétuelle agitation | Prend le temps de penser |
Fait du chiffre à court terme | Créé les conditions favorables au développement de l’humain et des résultats de l’entreprise |
En somme, un chef d’entreprise leader guide ses employés afin qu’ils se responsabilisent et atteignent leurs objectifs : moins de supervision, mais plus de résultats ! Pour ce faire, il développe la confiance de ses employés à l’aide d’une bonne communication et en se présentant comme modèle. Pauvrement servi, l’employé aurait-il un autre intérêt que de servir pauvrement ?
Alors, quel type de dirigeant êtes-vous ?
Pour plus de renseignement sur les bonnes manières de diriger son entreprise pour la rendre vertueuse, n’hésitez pas à contacter votre coach d’affaires !