De technicien à chef d’entreprise : un voyage d’apprentissage continu
Les chefs d’entreprise : d’abord des techniciens Formation initiale : Souvent on créée une entreprise lorsqu’on est bon “technicien” dans son métier : maçon, électricien,
De nombreux dirigeants de PME ayant suivi des programmes ActionCOACH afin de manager pour réaliser leurs objectifs confient à leur coach d’affaires cette irréfutable vérité : « Mais c’est simple, c’est du bon sens ! ». La simplicité et le bon sens sont hélas des « valeurs » oubliées : dès que l’on parle d’entreprise, tout semble compliqué ! L’entreprise ne doit pas nécessairement ressembler au pays des Shadocks !
Entrepreneur, savez vous comment gagner du temps et devenir plus efficace pour avoir un année à 400 jours ?
A chaque nouvelle année, les bonnes résolutions fleurissent, mais en entreprise comme partout ailleurs, celles-ci dépassent rarement la fin du mois de janvier. Et si cette année, vous décidiez que l’année durera 400 jours ?
Se donner plus de temps, oui, mais comment ? Que feriez-vous de ces 15 % de temps en plus ?
Découvrez nos 3 conseils pour gagner en efficacité et pour profiter de 35 jours supplémentaires :
Changer ses habitudes sera difficile si vous en ignorez les raisons et les bénéfices. Posez-vous la question ! Se fixer des objectifs personnels concrets et motivants est essentiel pour comprendre pourquoi il est important de changer ses habitudes de travail. Pensez à une nouvelle activité sportive, artistique, à vos proches, ou encore à des projets professionnels qui vous tiennent à cœur.
Notre expérience en coaching de dirigeants nous a démontré que si cette motivation est mal définie, la volonté disparaît rapidement.
Réfléchir et trier ses tâches selon l’urgence et l’importance de chaque tâche. La méthode du « urgent / pas urgent – important / pas important », qui distingue l’important de l’urgent, vous permettra de redéfinir le « juste temps » nécessaire à chaque activité ou interlocuteur.
Ce travail, qui peut sembler fastidieux, demande une grande motivation, d’où l’intérêt de notre conseil n°1 :se fixer des objectifs concrets et motivants !
Pour ce faire, vous pouvez utiliser un agenda hebdomadaire par défaut et y inscrire les blocs de temps consacrés à vos nouvelles activités : elles sont importantes car vous les avez choisies, mais elles ne sont pas forcément urgentes. Si la place vous manque, revisitez le temps des autres activités avec la méthode SRD (supprimer – réduire – déléguer)
Appliquer ces trois conseils, c’est avoir toutes les clés en main pour réussir à changer ses habitudes. Il vous restera alors à choisir les outils d’organisation qui vous conviennent le mieux, et non l’inverse !
Alors que l’une des clés de la rentabilité pour un chef d’entreprise est d’investir sur les clients les plus « rentables », il se retrouve souvent dans la situation du parieur sur un champ de course : faire face à un choix complexe dont l’enjeu peut être vital !
En septembre, comme souvent aussi en janvier, c’est le moment des bonnes résolutions et des idées nouvelles.
Néanmoins, malgré toute notre bonne volonté et notre engagement, nous les chefs d’entreprise, sommes amenés, parfois, à différer dans le temps voire abandonner, au fil des semaines certains projets. Un peu comme les nouveaux joggeurs de septembre qui renoncent progressivement à s’entrainer à cause du froid, par manque de temps…
Comment déléguer sans transpirer ? Découvrez les 6 secrets pour rendre son entreprise plus autonome et gagner en efficacité !
Déléguer permet de gagner du temps pour se consacrer à des tâches plus importantes, ou pour s’autoriser des congés bien mérités, par exemple. Nombreux sont les chefs d’entreprise qui pensent perdre du temps à former un collaborateur, ou encore qui pensent « mieux faire ». Déléguer, c’est au contraire cultiver des talents pour gagner en temps et en efficacité.
La délégation est l’un des outils les plus importants du management. La délégation permet d’augmenter sa productivité, à condition qu’elle soit réussie. Voici quelques principes fondamentaux à respecter pour déléguer en toute sérénité.
• Choisir le bon délégataire : déléguer oui, mais pas à n’importe qui ! Demandez-vous si la personne choisie les compétences, l’expérience mais aussi les ressources pour assurer cette mission. Vous pouvez également répartir cette responsabilité entre plusieurs personnes plutôt qu’une seule, si cela vous semble nécessaire.
• Motiver son délégataire : choisir de déléguer, c’est évidemment être conscient de l’intérêt de la tâche, mais est-ce si évident pour le délégataire ? Expliquez-lui ce qu’il gagne à accomplir cette mission, et quels sont les risques.
• Construire la délégation : définir clairement le périmètre de la délégation est essentiel. Le délégataire doit comprendre le contexte, les objectifs, l’importance de la tâche, les livrables attendus, les échéances…
• Préciser son rôle : si le délégataire doit avoir l’autorité nécessaire pour accomplir la tâche, le responsable reste vous et vous seul ! Déléguer, ce n’est pas abdiquer : définissez la fréquence des points de contrôle, le niveau d’autonomie et de responsabilité.
• Valider conjointement la délégation pour vérifier la compréhension et l’accord du délégataire.
• Faire confiance en son délégataire : qui dit bon management dit confiance ! Ne surveillez pas à outrance votre délégataire ; respectez l’autonomie que vous avez accordée. Par exemple, n’appelez-pas tous les jours pour prendre des nouvelles si vous avez convenu d’un point hebdomadaire. Si vous l’avez choisi, c’est que vous avez confiance en ses compétences, ne l’oubliez pas !
Ces quelques règles sont simples et pleines de bon sens : est-ce la raison pour laquelle nous avons tant de mal à les appliquer ?
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Que l’on soit introverti, réservé, ou pleinement extraverti, il est important de considérer l’impact du bouche-à-oreille lorsque l’on souhaite développer ses ventes. En effet, il a été prouvé que le bouche-à-oreille « traditionnel » a toujours plus de portée que les réseaux sociaux dans les décisions d’achat d’un consommateur !
Le bouche-à-oreille est l’un des moyens les plus efficients pour faire connaître son entreprise et accroître ses ventes, et ce dans de nombreux secteurs. En effet, avec ses coûts moindres et ses taux de transformation élevés, il est rêve absolu pour tout chef d’entreprise !
Les dirigeants sont, cependant, nombreux à ne pas développer cette stratégie de manière proactive. Pour quelles raisons ?
Si le marketing de bouche à oreille est vraiment efficace, pourquoi ne pas y consacrer plus de ressources, en supprimant des actions commerciales plus coûteuses ou chronophages?
La deuxième raison est souvent la réponse à cette question…
Réponse type d’une personne introvertie!
Pour les introvertis, « réseauter », c’est rencontrer des inconnus, dans un lieu très souvent bruyant où l’on tient des conversations superficielles. Il est évident qu’une telle perception du réseautage ne peut que les amener à avoir des réticences.
Les introvertis possèdent en effet trois qualités qui leur permettent de développer de très bonnes relations d’affaires :
Contrairement aux idées reçues, les introvertis ont tous les atouts nécessaires pour développer un bon « réseautage », à condition de remettre en cause certaines croyances et de sortir de leur zone de confort.
Pour en savoir plus et développer vos compétences dans le « bouche-à-oreille » , cliquez ici !
Saviez-vous qu’Andrew Carnegie (1835-1919), célèbre homme d’affaires américain connu pour avoir fondé une philosophie de la philanthropie, a également élaboré une « philosophie du succès » pour les chefs d’entreprise ?
Andrew Carnegie demanda en effet à un jeune étudiant de consacrer 20 années de sa vie à rencontrer des chefs d’entreprise en utilisant une démarche scientifique afin de comprendre les clés de la réussite dans monde des affaires et d’élaborer la « formule magique du succès » pour la communiquer au plus grand nombre…
Ce fut l’œuvre d’une vie pour Napoleon Hill, qui rencontra des milliers d’entrepreneurs.
Le résultat ? Un livre – Réfléchissez et devenez riche* – paru en 1937 et réédité 42 fois à ce jour, servant de base à plusieurs « gourous » du monde des affaires.
Ce qui m’étonne toujours à la lecture de cet ouvrage, parfois « daté » dans sa forme, c’est la simplicité et la pertinence des enseignements, toujours d’actualité et source constante d’inspiration pour les dirigeants d’entreprise.
Voici quelques principes fondamentaux énoncés dans cet ouvrage :
– Avoir une vision, des objectifs précis et savoir élaborer des plans.
– Savoir prendre des décisions
– Être persévérant, démontrer une forte capacité à surmonter les échecs
– Comprendre le pouvoir du « cerveau collectif »…
Le savoir-être est donc la clé du succès alors que nous avons trop souvent tendance à privilégier le savoir-faire. Andrew Carnegie l’a démontré dans sa « vraie vie », démarrant sa carrière comme ouvrier dans l’industrie textile et faisant fortune dans l’acier … tout en consacrant la plus grande partie de son temps à sa véritable passion : aider les autres !
*Napoleon Hill, Réfléchissez et devenez riche, Les Editions de l’Homme
Comment faire de ses clients des inconditionnels de son entreprise ? Un entrepreneur a tendance à vouloir conquérir de nouveaux clients lorsque le climat des affaires est tendu. Peu de chefs d’entreprise adoptent une démarche proactive en s’appuyant sur le principal actif de l’entreprise : le portefeuille clients. C’est pourtant la démarche la plus efficace à adopter !
Si un dirigeant a tendance à privilégier le développement de nouveaux contacts (publicité, salons, télémarketing, campagnes de mailing), le taux de conversion est pourtant l’un des moyens les plus efficients pour augmenter le nombre de ses clients.
Le développement de nouveaux contacts via les opérations énumérées ci-dessus est souvent très coûteux et absorbera une part importante du budget marketing. En revanche, une augmentation de 10 % du taux de conversion est aussi efficace que générer 10 % de prospects supplémentaires, avec deux avantages majeurs pour les PME :
– Des coûts moins élevés
– Des retombées plus rapides
Il est temps de mesurer son taux de conversion et de mettre en place des actions concrètes qui pourraient « payer » très rapidement !
Pour améliorer mon taux de conversion et gagner de nouveaux clients, je dois :
– Définir ce qui me distingue de mes concurrents de manière concrète, en évitant les « lieux communs » tels que : le service clients, l’offre de qualité, les délais rapides…
– M’engager clairement, quitte à proposer une garantie
– Demander à mes clients de témoigner
– Faire des photos ou des vidéos de qualité de mes réalisations
– Mesurer mon taux de transformation par marché, type de clients, produits.
– Me fixer des objectifs, former mes commerciaux : définir des scripts de vente, etc.
Attention, cette liste est loin d’être exhaustive et doit être adaptée à votre activité !
Un coach d’entreprise ActionCOACH est un professionnel expérimenté qui vous permettra de prendre du recul sur votre stratégie commerciale pour identifier les opérations commerciales les mieux adaptées à votre entreprise.